1) Sous cette signature et ce titre, il s’agit d’un mémoire de maîtrise de 200 pages élaboré dans l’année 2004-05 en histoire contemporaine, à l’Université de Haute-Alsace à Mulhouse.

   2) Nous le rééditons intégralement sur ce blog, pour son intérêt global, et plus particulièrement pour son traitement aux pages 50-58 de « la question polonaise » (sic).

   3) J’ai rencontré Jonathan, assez souvent, pendant sa période de collecte de données, à sa demande, et, si je me souviens bien, par l’entremise de René Arnold (voir en XIV). Il était retenu et appliqué. Idéologiquement, j’ai surtout souhaité lui faire sentir que le paternalisme n’est jamais tout à fait désintéressé… Il m’a répondu par un réel goût pour ménager, dans sa présentation des choses, la chèvre et le chou…

   4) Il a poursuivi son cursus par un DESS de Tourisme industriel, à St-Etienne, dans le cadre duquel il a effectué un stage « sur le terrain » à l’Ecomusée alsacien d’Ungersheim.

   5) En excellente entente avec sa collègue de travail Julie Barbey maintenant à Nice, plus spécialisée en conservation du patrimoine, il a amicalement favorisé la participation des Polonais aux fêtes de  Potassie 1 et 2 (voir en X), je les remercie encore une fois tous deux de cette opportunité qu’ils ont contribué à créer. Il en reste pas loin de 6h de vidéos, précieuses, parce que significatives, consultables sur youtube à partir de ce blog.

   6) Lorsque nous abordions avec Jonathan la question de son orientation professionnelle ultérieure, comme prof en exercice dégoûté je lui disais, apparemment en avance sur le temps présent : « Surtout pas l’enseignement ! » Il a donc tout naturellement rejoint l’Education nationale, en région colmarienne… Je lui ai dit : « Je te pardonne, parce que tu aimes les enfants. (Il encadrait déjà, on dit « coatchait » aujourd’hui, quand on cause à la mode, une équipe de gamins-footeux à Raedersheim, son patelin.) » (Moi, j’aimais plus la matière, que les enfants…).

   7) Une des références à ne pas négliger de Jonathan reste qu’il a eu pour grand-père un maire de Berrwiller, qui a géré le village pendant trente ans, ce qui est rare (1959-89) ! et dont il porte le patronyme. Ce lignage a sans doute prédisposé  le jeune historien à s’intéresser prioritairement aux gens, et à les aimer.

   8) Jonathan n’a pas continué à travailler sur l’histoire minière, au-delà de cette expérience estudiantine. Je trouve que c’est dommage. Il exerce son métier de prof en région colmarienne, où il s’est installé, a fondé un foyer, et est devenu père de famille.

   8) Rédigé par fsz le 14-12-23 ; matériel protégé par le droit d’auteur (loi française du 11 mars 1957).

—————————————————————-