1) Pour ses 80 ans, ce 5 janvier 24, Lew Bogdan nous offre un écrit inédit, en 16 pages de format A4, sa « Postface » à son « Epopée du Ciel Clair, de Lindbergh à Airbus », un sommet composé « 20 ans après » (comme Dumas, pour ses «Trois mousquetaires ») le gros volume principal, publié en 1988.
2) L’auteur y confirme intensément, brillamment (j’utilise rarement ce mot, parce qu’il est si affreusement galvaudé : aujourd’hui, en classe, dès qu’un gosse a la moyenne, on dit déjà qu’il est brillant, alors qu’il n’est que passable, enfin dans un monde normal), son écriture qui fonce en permanence vers ce qu’il y a de plus significatif pour le traitement optimal de son sujet, et sa hauteur de vue permanente, sa lucidité (pour faire de « l’esprit », à deux balles, pardon, mais j’peux pas m’en empêcher, je dirais que quand on traite d’aviation, la hauteur de vue, ce n’est quand même pas ce qu’il a de plus impertinent…).
3) En même temps (comme dirait l’autre, vous savez qui, mais si, lui), cette publication constitue pour notre blog une prestigieuse manière d’inaugurer 2024, considérée par moi, chiffres à l’appui, comme l’année du centenaire de la présence des Polonais dans le Bassin potassique alsacien et à Mulhouse.