e II – Les Polonais et le Travail

16 de nos Polonais distingués par des médailles

   1) On prendra connaissance, ci-dessous, de notre recensement des Polonais et Polonaises du Bassin potassique et de Mulhouse ayant obtenu des décorations.

   2) On ne tient pas compte ici des éventuels titulaires de la médaille régionale, départementale et communale, ni des personnes ayant obtenu des médailles du Travail ; de même, on ne peut recenser ici tous les Polonais champions sportifs ; dans ces trois cas, l’exercice est trop aléatoire.

   3) Par ordre alphabétique, on retient donc les titulaires des décorations qui signifient le plus pour les bénéficiaires une promotion dans la hiérarchie sociale, quoique purement honorifique :

  • (+) Czeslaw Blaszczyk, chevalier dans l’Ordre national du Mérite (Culture, juillet 1973), chevalier de l’Ordre du Mérite polonais (1993) ;
  • Jean-Michel Dus, officier dans l’Ordre des Palmes académiques (décembre 2008, dans la promotion du bicentenaire de cet Ordre) ;
  • (+) Yaroslaw Fedorczak, croix de guerre, chevalier de la Légion d’honneur, à titre militaire, et d’autres distinctions; nota : l’orthographe du prénom, avec Y initial, au lieu de J, me laisse déconcerté…
  • Alfred Kaluzinski, dit « Kalu », chevalier de la Légion d’honneur (sur le contingent du Premier ministre, en l’occurrence Manuel Walls (de gauche…) destiné à reconnaître les plus beaux dévouements dans la vie associative, en 2015) ; en outre, croix du Mérite polonais (Ordre institué en 1923 par le président de la République de Pologne d’alors Stanislaw Wojciechowski, et non celui « mis en service » en 74 avec modifications par une loi de 92) ; est-il bien raisonnable, est-il bien sérieux, d’avoir dans l’arsenal polonais des distinctions nationales deux médailles du mérite différentes ? Une seule ne suffirait-elle pas, ni de gauche ni de droite, mais tout simplement républicaine, tout simplement polonaise ? De fait, l’une ne dévalue-t-elle pas l’autre ?
  • Lidia Kuliberda, médaille du Ministère polonais de l’Education (juillet 1992) ;
  • Wladis Labowicz, dit « Labo », médaillé au titre de la Jeunesse et des Sports, chevalier dans l’Ordre national du Mérite (Culture, 16-06-2018) ;
  • (+) Anna Lasek, Veuve Pawel Wisniewski, médaille de bronze de la Jeunesse et des Sports, chevalier de l’Ordre du Mérite polonais (1993) ;
  • (+) Joseph Peplinski, dit « Pep », chevalier de l’Ordre du Mérite polonais ;
  • (+) Thadée Piasecki, citation à l’Ordre du Régiment, comprenant l’attribution de la Croix de Guerre, avec étoile de bronze (en janvier 1949) ;
  • (+) Henryk Szczesniewski, dit « Zuraw », Ordre militaire polonais « Virtuti militari », Ordre polonais « Polonia Restituta » (« de la Renaissance » de la Pologne), à titre posthume ;
  • Annabelle Wersinger, chevalier (en 1992), puis officier de l’Ordre du mérite de la République de Pologne (en 2002) ;
  • (+) Paul Wisniewski, citation à l’Ordre du Régiment, comprenant l’attribution de la Croix de guerre, avec étoile de bronze (en janvier 1949) ;
  • (+) Louise Zawierta, morte pour la France, Ordre militaire polonais « Virtuti militari » (décerné à titre posthume) ;
  • (+) Robert Zieba, chevalier, puis officier de l’Ordre national du Mérite (Culture), Bretzel d’or (forte distinction alsacienne, en 198 ?) ;
  • (+) Louise Zielinski, chevalier de l’Ordre du Mérite polonais (1993), + autre « haute » (sic) distinction polonaise ?;
  • votre serviteur, médaille d’honneur du Conseil général du Haut-Rhin (décembre 1990, décidé à l’unanimité de la Commission permanente, sur proposition du président Jean-Jacques Weber, député-maire), chevalier dans l’Ordre du Mérite polonais (1997).

3) Non Polonais décorés de décorations polonaises

– (+) Adrien Zeller, président du Conseil régional d’Alsace (commandeur ? en 2007 ?, ès qualité, à titre purement protocolaire)

–  Jean-Marie Belliard, maire honoraire de Sierentz, conseiller régional (2010-15) : chevalier du Mérite polonais ; dès qu’il a succédé à Jean-Paul Heider, notre voisin thannois, en son temps 1er adjoint du sénateur-maire (+) Pierre Schielé, questeur, exemplaire de sérieux et d’efficacité, à la présidence de la Commission des relations internationales du Conseil régional, les échanges annuels entre Alsace et Basse-Silésie ont brutalement cessé : joli résultat pour cet hypercentré qui ne savait dire que : « Moi, moi, moi ! » Un jour, lors d’un déjeuner officiel particulièrement asphyxiant à la MJC de Wittelsheim, je n’ai pas pu m’empêcher de lui dire : « Mais, est-ce qu’on ne pourrait pas une minute une fois parler d’autre chose que de vous ? » C’est fou, ce que l’égocentrisme peut amocher la vie publique (et privée sans doute aussi…).

– Comme maire Belliard a tout juste contribué à un petit échange scolaire ponctuel avec une classe polonaise. Les Polonais étaient pauvres, ils ne pouvaient pas distribuer beaucoup de cadeaux de bienvenue, alors ils distribuaient ce qu’ils avaient, des médailles, donc très dévaluées, pour ne pas venir les mains vides. C’est ainsi que Belliard a eu le Mérite polonais, alors que son mérite était voisin de zéro ; l’exact opposé de Pep, qui a dû attendre ses 95 ans pour le recevoir, et après avoir dirigé sa chorale polonaise pendant plus d’un demi-siècle ! Vraiment ! quelle scandaleuse disproportion ! je suis donc en principe très réservé à l’égard des médailles, car leur distribution n’est pas soumise à des normes raisonnables, et cela engendre des injustices révoltantes. Si M. Belliard avait eu un peu de sens de la décence, eh bien, il l’aurait rendue, ou refusée, sa médaille, parce qu’il n’a vraiment rien foutu pour l’avoir et qui soit profitable à la Pologne.

– Je ne m’étends pas plus, mais pour provoquer un peu certains décorés qui me donnent de l’urticaire, je lance quand même en bon franc-tireur : les plus belles médailles, ne seraient-elles pas celles qu’on refuse ? hum, hum… Je suis sûr, que mon ancien « camarade » du « Parti socialiste » Jo Spiegel, ancien maire de Kingersheim, sera d’accord avec moi, lui qui a retrouvé, tout à coup, je n’en reviens pas, la force protestataire de refuser la Légion d’honneur, lui si longtemps avalé et digéré par le « Système », hélas ! un homme de sa valeur…

4) Illustrations :

  1. a) en sommaire de ce blog, la croix de l’Ordre polonais « Virtuti militari », reproduite par son bénéficiaire le plus ancien, le scout « Zuraw » (doc Zuraw) ;
  2. b) deux clichés (par fsz) de la tombe de Yaroslaw Fedorczak au cimetière n° 2 de Wittelsheim ; d’abord, portrait-médaillon du défunt avec ses imposantes décorations ; ensuite, la palme en bronze sur la pierre confirmant sa dignité de chevalier de la Légion d’honneur ; concernant l’intéressé, il convient de relever que, ayant servi sous uniforme français, il n’a jamais adhéré à une section des anciens combattants polonais, contrairement par exemple à François Kutermak, à Wittenheim ; est-ce une fissure, vraiment délibérée, dans sa fidélité aux origines ? 
  3. c) Mon article dans le bulletin communal de Wittelsheim n° 3, page 15, sur, en particulier, Czeslaw Blaszczyk prononçant son remerciement du récipiendaire de « la bleue » française, en mairie de Wittelsheim, début juillet 1973 ;
  4. d) Mon article du jeudi 22-10-92 sur les cérémonies de la « première bleue polonaise » de Bella Wersinger, dont j’ai aussi été « le meneur de jeu » (exercice que j’aimais bien, à l’époque…) ;
  5. e) La promotion de Bella en 92 a eu un gratiné contrecoup, celui de la promotion en 93 du trio Czeslaw Blaszczyk, Anna Lasek, et Louise Zielinski, qui n’auraient peut-être pas été nommés, jamais, ou pas encore, ou pas en même temps, si les « autorités » de « Solidarité », nouveau consul général à Strasbourg (+) Piotr Chruszczynski en tête, n’étaient pas aussi fortement remontées contre l’odieuse reconnaissance échue à « la communiste ». Pour lui et ses copains, il était hors de question qu’Annabelle soit la seule médaillée du Bassin. Pour compenser, ils ont donc « bombardé » du Mérite d’autres méritants, en l’occurrence les trois cités plus haut.
  6. f) Notons qu’il a été rapporté de Chruszczynski, antipathique au possible, je peux en témoigner, qu’il s’est présenté en pleine nuit très pris de boisson et sans ses papiers à la frontière franco-allemande, près de Strasbourg, en faisant valoir sa qualité de diplomate polonais pour qu’on le reconduise chez lui, car il ne trouvait plus son chemin ! Vraiment, est-ce que notre pauvre Pologne, malgré tous ses péchés, a mérité d’être aussi mal représentée à l’étranger ? Mais c’était le temps où l’on virait les « pros » confirmés du Régime, par revanchardise primaire, et où on les remplaçait trop souvent à la hâte par des amateurs, des aventuriers, des incompétents, des paresseux, et qui plus est déjà cyniques à peine arrivés au pouvoir.
  7. g) (+) Louise Zielinski était tout à fait bien désignée, particulièrement en regard de son très gros travail au groupe folklorique « Polonia » et à la chorale « Waclaw z Szamotul » ; il resterait à se faire une idée objective de ses réels faits et gestes de « résistante » pendant l’Occupation, qui n’ont peut-être pas été si extraordinaires qu’elle le donnait à comprendre ; si l’ont veut, ce qu’elle a accompli, d’autres Polonais aussi l’ont assez couramment accompli, spontanément, sans vouloir être pris pour des « héros » ; c’est un travail d’évaluation qu’on n’a encore eu le loisir de faire, donc ne jugeons pas définitivement trop vite.
  8. h) La nomination (+) d’Anne Lasek, sans rien lui contester de ses réels états de service dans le scoutisme et dans le chant choral, comprenait quand même fortement l’idée de rendre hommage à travers elle à son premier mari décédé, grand scout dominant du secteur dans l’après-guerre, grande époque du scoutisme, Pawel Wisniewski. Maintenant qu’elle est décédée, il y a quelques semaines, on peut le dire sans risque qu’elle s’en trouve gênée, Anne a bel et bien fait figure de « veuve des Polonais », en quelque sorte comme Jacqueline Kennedy a été « la veuve de l’Amérique », la gardienne de la mémoire d’une icône, et sa continuatrice.
  9. i) (+) Czeslaw Blaszczyk avait déjà depuis 20 ans la « bleue » française : fallait-il bien le charger, ou le surcharger, par sa redondance polonaise ? Remarquez que c’est une question qui se pose pour lui comme pour d’autres ; ce qu’on doit cependant à la vérité, c’est d’ajouter que Czeslaw a été, en certaines matières, un militant controversé, sans doute parce que l’esprit de tolérance n’était pas son fort, comme cela a été unanimement constaté, et beaucoup déploré. Progressivement, chemin faisant, il s’est enfermé en lui-même, comme cela arrive du reste à la plupart de ceux qui sont aussi ardemment persuadés de défendre de justes idées et idéaux.
  10. j) Ne serait-il pas particulièrement piquant et poivré de dire que les trois chevaliers de 93 doivent, sans aucun doute, une fière chandelle, et un petit merci ? à la réprouvée Bella, devenue elle –même chevalier plus tôt qu’eux d’un an ?
  11. k) Le premier adjoint au maire de Pulversheim Alfred Kaluzinski s’est vu épingler sa Légion d’honneur, par l’impérieux commandeur Claude Willig, es-qualité, le 13-11-15, environ une heure avant le début à Paris de la très meurtrière attaque terroriste du « Bataclan » : quelle folle soirée, à jamais inoubliable, on en frissonne encore ! Fallait-il que cette cérémonie reste désormais dans notre souvenir indissociable d’une horreur pareille ?
  12. l) A la demande de mon ex ami Alfred Kalu, qui se disait « trop ému » pour l’écrire lui-même (Ah, l’émotion, surtout chez les Polonais, qu’est ce que ça peut vous diminuer un homme…), je lui ai rendu le service, eh quoi, je suis quand même son cousin, après tout… de lui écrire son «Remerciement du récipiendaire », dont je joins ci-dessous le texte, qu’il a quand même réussi à lire, et en s’en tenant au « minimum syndical » en matière de larmoiements en public, merci.
  13. m) Pendant longtemps, trop longtemps, Kalu ne s’est pas vu distingué pour ses activités au service du bien public ; pendant si longtemps que j’ai même fini, c’est la première fois que je le dis aujourd’hui, par songer, fortement, à prendre moi-même l’initiative de solliciter pour lui la bleue française ; mais, après mûre réflexion, je me suis retenu, en me disant qu’en fin de compte j’obtiendrais l’inverse du résultat recherché, parce que, demandée par quelqu’un de sa famille, sa promotion, considérée par les mauvaises langues, qui, comme on sait, ne manquent jamais, envieuses et venimeuses, se verrait reprocher d’être fruit de favoritisme ; c’est pourquoi j’ai été sincèrement content, soulagé pour tout dire, de la demande diligentée conjointement par l’ancien maire Louis Feder et la sénatrice Patricia Schillinger (qui a depuis bien changé de couleur politique, quand même, ah, je n’aime pas beaucoup ça.) ; mais, je vais être tout à fait honnête, en lui décrochant la rouge, je trouve qu’en voulant bien faire ils ont fait fort, peut-être même poussé le bouchon un peu trop loin…
  14. n) Ci-dessous, voici le texte entier de l’éloge du récipiendaire que j’ai eu l’honneur de prononcer en prélude à la remise des insignes de chevalier de l’Ordre national du Mérite à mon ex ami Wladis Labowicz, dans son jardin, en juin 2018 ; il ne m’a même pas remercié pour ce service rendu, alors que je suis venu tenant à peine debout, trop tôt après une opération chirurgicale à la colonne verticale, pardon, vertébrale ; j’avais tellement mal que j’ai vraiment cru que je réussirais pas à dire jusqu’à la fin mon chef-d’œuvre oratoire.
  15. o) Photo de (+) Henri Leininger du Comité directeur de l’association CLPP (« Culture et Liberté au Pays de la Potasse »), élu après l’assemblée générale annuelle de juin 2013, dans le jardin de « Labo», au pied du château d’eau de Wittelsheim-Grassegert ; ledit Labo figure barbu comme 1er vice-président (le second en partant de la droite), et moi comme président (le premier en partant de la gauche).         

     En vue de la création de l’assoc en 2009, l’ex directeur de la Maison des jeunes liquidée, toujours Labo, m’a demandé d’exercer la fonction ; j’ai pensé ne pas pouvoir, par amitié, et encore plus par éthique, comme ancien de la MJC, donc de l’éducation populaire, lui refuser ce service, leur refuser ce service, décidément je suis un homme de services, en particulier souvent un écrivain public, quel destin, n’est-ce pas ?

  1. p) Ci-dessous, le «  texticule » de ma réponse, publiée, à l’article du « Point » électronique du jeudi 02 novembre 2017 intitulé : « Attribue- t-on trop de Légions d’honneur ? »
  2. q) Je n’ai pas continué à proposer des commentaires d’articles à ce « grand » hebdomadaire, car son « équipe de modération » était, pour moi, vraiment trop, disons, « modératrice », et moi pour elle vraiment trop anguleux ; pour leur faire appeler un chat un chat, vous pouvez toujours courir… Ils ne sont pas militants qui essaient de faire avancer des causes, mais commerçants qui vendent du papier encré, que voulez-vous ?

   5) Pour essayer de finir cet article en « apothéose comique », je veux encore dire un peu de la manière dont les choses se sont passées pour mon « Mérite » à moi, à l’automne 97.

   C’est l’ambassadeur de Pologne à Paris, qui, par lettre, m’avise de ma promotion. Il m’enjoint de me présenter, à sa convenance, à l’ambassade pour retirer mon insigne.

   Mon sang ne fait qu’un tour, évidemment. Comme si je n’avais que ça à faire ! Et du fric à foutre par la fenêtre en promenades !

    Il voit les choses à la polonaise, moi à la française, en tant que citoyen français, libre. Qu’il s’adapte donc ! Et que fait-il de cette prescription bien connue qui devrait partout et toujours prévaloir, et sans histoires : « A Rome fait comme les Romains. » ?

   Chez nous, on se fait épingler sa décoration en public, lors d’une petite cérémonie, solennelle puis conviviale ; c’est le décorant qui va au décoré, et non l’inverse.

   Je lui proteste donc par courrier postal qu’il m’envoie mon objet à mon adresse par colis postal. Il s’exécute, en silence. Fin de nos contacts. Je ne lui aurai pas servi de faire-valoir, non mais….

   Et je renonce à toute remise officielle, pour me simplifier la vie.

   Mais l’histoire n’est pas finie. Le maire honoraire (+) René Arnold, volontiers mesquin, m’avertit qu’il m’est interdit de porter ma décoration en public.

   Encore qu’il faille souligner cette contradiction que les médailles sont en vente libre, je me souviens même d’un magasin spécialisé à Paris, presqu’en face du Sénat.

   En effet, suivant les règles établies, il faudrait que je demande l’autorisation de la porter à la Chancellerie de la Légion d’honneur, qui, en France, fait la police des médailles. Bon, je suis d’accord, il est inconcevable que n’importe qui se permette d’arborer n’importe quoi, de manière indue, il faut un minimum d’ordre, ou plus rien ne veut rien dire.

   Cerise sur le gâteau, quand la Chancellerie accorde l’autorisation, elle exige le remboursement de ses frais de secrétariat.

   De nouveau, mon sang ne fait qu’un tour, évidemment. Pis : la moutarde me monte au nez ! Me voit-on payer pour pouvoir me trimbaler avec cet engin ? Me l’accorder, n’est-ce pas du même coup estimer légitime et tout simplement naturel que je puisse me montrer avec, même en maillot de bain à la piscine ?

   Et puis, après tout, je n’ai rien demandé, moi !

   Mon joli hochet, c’est vrai qu’il est joli, qu’il fait distingué (c’est peut-être du reste bien le moins pour une distinction…), vit depuis l’origine sa vie dans le noir du fond d’un de mes tiroirs.

   N’en parlons plus, je crois en avoir assez dit, pour longtemps: ensemble, amis lecteurs, pouffons !

   En étant toutefois bien conscients que les médailles ne sont pas d’innocents jouets, mais qu’elles sont un instrument de pouvoir, comme un autre, qui procède de calculs, de visées.

   Etre médaillé, c’est donc toujours, à un certain degré, accepter d’être instrumentalisé : eh oui…

  

   6) Fait par fsz le 22-09-24 ; matériel protégé par le droit d’auteur (loi française du 11 mars 1957).

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